Voici un récit de partie de Southern Storm Campaigns, rédigé par Lynx.
Ci dessous quelques liens Utiles.
Ci dessous quelques liens Utiles.
Après avoir saisi Épinal et résisté à la contre-attaque française menée par le groupe mobile Giraud ( voit partie commentée 1, Epinal), les formations soviétiques poussent leur avantage.
Jordan m'invite à rejouer les rouges alors qu'il va prendre le commandement du 12eme régiment de cuirassiers, une unité blindée issue de la 3eme DB, afin de contre-attaquer sur Colmar, là ou une force soviétique s'est établie.
Nous allons jouer sur le scénario : « La charge du 12eme Cuirassier ».
8 août 1989, 08h00, Colmar, France — Forces françaises contre soviétiques
Les lignes de défense en Allemagne de l’Ouest commencent à céder, et des formations soviétiques ont atteint la frontière française.
En plusieurs endroits, elles ont traversé le Rhin et pénétré sur le sol français.
Une telle percée a eu lieu non loin de la ville de Colmar.
Des éléments avancés de la 27ᵉ division de fusiliers de la Garde ont pénétré dans la ville et commencé à y établir des positions défensives dans l’attente de renforts.
Le commandement français a ordonné à la 3ᵉ division blindée de se déployer à Colmar pour reprendre la ville et empêcher les renforts ennemis d’y accéder.
La 27ᵉ division soviétique, affaiblie par l’usure des combats, est surexposée.
Les Français voient dans la situation de Colmar une opportunité de repousser les Soviétiques vers le Rhin.
Carte : Colmar, Alsace, France, 48°04'54"N 07°21'20"E. Zone de 20 x 15 km.
La bataille commence vers 08h00 après le p'tit déjeuner, et va durer 6 heures, beau temps, visibilité 100 %, 18°.
Mais ce ne sont pas des croissants que va nous amener Jordan, ni l'ami Ricorée …
Aucune zone n'est minée, aucun pont n'est détruit.
A priori rien ne vient dénier l'accès à Colmar.
Coté soviétique, j'ai à ma disposition le 68eme régiment motorisé des fusiliers de la garde ( GMRR ), dont les forces sont incomplètes sur la carte.
En début de partie je dispose de la moitié des unités, soit 6 compagnies d'infanterie sur BMP, réduites par des combats précédents, leurs sections AA, quelques unités de reconnaissance dépourvues de missiles antichars, mais équipées de rpg, 6 pièces de mortiers de 82 mm et 18 pièces d'artillerie de 152 mm hors carte.
Je n'ai pas de soutien aérien, ni d'hélicoptères en appui, ni de section antichars.
Soit 6 unités combattantes de mêlée, déjà affaiblies,pour tenir Colmar, c'est peu eu égard à la taille de la ville et ses abords.
Néanmoins, la progression française a été anticipée, et le reste du régiment va arriver par échelons successifs, d'ici 30 min, le GQG , suivi deux heures plus tard par 3 compagnies mécanisées supplémentaires, leurs sections AA et 6 pièces de mortiers de 82 mm.
Puis après cette première vague de renforts, 30 minutes plus tard, arrive la composante blindée du régiment, incomplète du fait de pannes, 25 T80B1 viendront donc vers 10h30.
Coté français : Je n'ai qu'une estimation des forces en présence, et afin de conserver une expérience de jeu et de simulation optimale, je n'irai pas voir le pendant de ce scénario en le lançant coté OTAN.
Les rapports de renseignement indiquent que les Français acheminent des forces fraîches et s'apprêtent à lancer une contre-attaque pour reprendre Colmar.
On peut s’attendre à l’engagement d’au moins un bataillon de chars, appuyé par de l’infanterie mécanisée.
Soit entre 60 et 80 blindés ( amx 30 à priori ) entre 40 et 50 mécanisés et leur infanterie ( amx 10 ).
Ils bénéficient du soutien d’au moins un, voire deux groupes d’artillerie régimentaire, soit près de 40 tubes d'artillerie.
Un appui d’hélicoptères d’attaque est également attendu, ainsi qu’un possible soutien aérien rapproché.
Une force aérienne française de 1 à 5 avions est pressentie par le renseignement militaire.
Les français sont donc largement assez nombreux et ont toutes les composantes nécessaires pour prendre Colmar.
Je m'attends à devoir tenir deux heures trente sans renforts, avec 6 compagnies qui auront des munitions antichars limitées !
Je risque fort de me faire submerger.
1 Rapport de renseignement
Les objectifs à tenir sont les suivants : 3000 points pour l'aéroport de Colmar, 3000 points pour la vieille ville et ses trois ponts, 500 points pour Horbourgh-Wihr et 500 points pour Andolsheim, deux patelins situés à l'est de Colmar. 1000 points pour Housen au nord de Colmar. 50 points pour Muntzenheim, très à l'est.
Mon objectif va être de tenir absolument les zones à 3000 points, la vieille ville et ses maisons à colombages me semble plus facile à défendre, je vais également couvrir l'aéroport et essayer de ralentir l'éventuelle progression adverse sur mes flancs.
Ma seule force est mon artillerie qui pourra détruire des cibles statiques.
Vers 10h30, les renforts devraient me permettre de contrer, surtout avec les T80B1 qui sont supérieurs aux AMX 30 mais vulnérables aux hélicos français, car il y aura des hélicos, j'espère qu'il n'y aura pas de jaguars …
Je m'attends à voir venir près de 60 Amx-30
Je n'ai que 25 T80 qui devraient arriver en renfort.
Déploiement initial
Des contraintes de placement ne me permettent pas de placer librement mes forces, les 2 des 3 compagnies situées au Nord de la ville vont devoir se mouvoir pour prendre des positions avantageuses et couvrir l’aéroport, la troisième va tenir l'objectif Housen.
Mes unités mécanisées ne disposent pas de génie, je ne pourrais donc pas faire sauter les ponts de la petite Venise ( tant mieux, c'est joli Colmar ! )
Je place mes reconnaissances en première ligne afin de tendre des embuscades à courte portée aux forces qui sont attendues le long de la Fecht.
Je fais le choix de concentrer mes unités de combat, 3 au nord pour défendre l'aéroport, 3 en ville pour tenir le centre.
Je n'ai pas assez de forces pour empêcher un enveloppement de la ville via les axes les plus au Nord ou au Sud, et je ne suis pas favorable à l'idée de disperser mes compagnies.
La petite Venise
Le plan en détail:
Dilemme … en effet, je n'ai que 6 compagnies de combat que je ne peux pas diviser, 6 points durs, là ou les français de Jo en auront peut être 15 ou 20 voire plus, le rapport du renseignement militaire est affolant …
Soit je concentre mes forces sur des môles de résistance, soit je les divise pour tenir tous les accès à la ville.
Jo est un tacticien audacieux, un fonceur, on a quelques parties au compteur et je commence à connaître un peu son style, la Furia Francese !!!!
Je compte sur une attaque frontale des forces françaises après un franchissement en force de la petite rivière Fecht, via Ingersheim au Sud et la zone boisée au centre ainsi que par la D4. Nous sommes en août et le franchissement de cette petite rivière ne devrait pas poser de difficultés aux français.
Là ou mes unités de reconnaissances, en écran, devraient mourir RPG à la main !
J'espère ensuite que les unités françaises iront au plus proche des deux objectifs principaux, ou des combats auront lieu en ville, là ou je concentre mon infanterie, durcie.
Dispersée sur l'ensemble des accès à Colmar, elle serait probablement submergée par le feu et le nombre.
L'idée est également d'utiliser allègrement mon artillerie hors carte pour cibler tout ce qui pourra l'être, je vais également programmer de la contre batterie.
Si Jo choisit une stratégie d'enveloppement par le Nord et/ou par le Sud, option peu probable selon moi, mais possible, ça devrait faire tenir plus longtemps mes forces concentrées en zone urbaine, et offrir des opportunités à mes renforts.
Je fais donc le choix de concentrer mes forces et de laisser les voies d'accès à Colmar, sud-ouest ( Wintzenheim ) et nord ( N83 - D3 ) non défendues ( je n'ai pas assez de monde ). Ça m'arrangerait presque qu'il enveloppe plein Nord.
Je place donc quelques sections d'iglas( AA ) à proximité de ces axes de progression … pour voir venir, et éventuellement attraper de l'hélicoptère en maraude qui chercherait de la profondeur.
Je n'ai pas de réserves, pas de renforts avant deux heures trente, et il faudra qu'ils fassent mouvement … donc les T80 ne pourront que s'engager sur la fin de la bataille, dans les deux dernières heures.
J'aviserai en fonction des besoins, la zone de l’aéroport semble adaptée. On verra.
L'exercice défensif me semble beaucoup plus ardu que sur ma première partie face à Jo, mes forces sont ici à priori très nettement inférieures en nombre, et mes renforts blindés qui pourraient rendre possible de la manœuvre vont arriver très tardivement.
Reste que 25 T80 qui auraient des cibles pourraient faire très mal.
Une bonne rasade de Vodka pour motiver la troupe et on y va !
Le réglage des ordres/postures va être super important, à priori, tout le monde va devoir s'accrocher au terrain ou pour ce qui concerne les recos, grenouiller un peu.
Je vais essayer d'affiner la posture des bmps en zone urbaine, on peut soit les utiliser en appui de l'infanterie, soit les planquer, je serai d'avis de tenter la dissimulation et de changer leur posture en mode appui juste avant un assaut adverse sur la zone, à tester.
Il va falloir que mon artillerie hors carte vise juste ( pas de vodka pour les artilleurs ), surtout en contre-batterie ou bien mes 6 précieuses compagnies d'infanterie vont se faire matraquer … chaque unité perdue par de l'artillerie, pouvant potentiellement provoquer l'effondrement de tout le dispositif et la perte d'un ou des deux objectifs principaux.
Les pertes seront lourdes coté rouge dans tous les cas, donc double rasade de vodka pour l'infanterie qui va avoir besoin de courage ...
Allez go, c'est parti, assez philosophé, l'initiative revient à Jordan et à ses cavaliers.
Je vais essayer de concentrer mes forces au centre.
08h00, l'artillerie française se met en action et place des écrans de fumée sur les deux points d'accès Sud et Nord de la Fecht, juste derrière les ponts.
C'est de bon aloi, je m'attends au choc dans la demie-heure qui va suivre.
Les sections de reconnaissance ont eu pour ordre de s'accrocher au terrain, « Do or Die! » et initiative tactique minimale.
Elles sont là pour détruire la pointe du dispositif français, le faire douter et avancer prudemment après ce rideau. Certainement sacrifiés mais pour la bonne cause, j'ai besoin de gagner du temps, mes renforts sont loin.
L'artillerie française couvre l'avancée des troupes en pointe avec des écrans de fumigènes.
09h00 : Une grosse colonne blindée française est détectée sur la route de Bennwhir, Ostheim , manifestement Jo va envelopper par le Nord ou venir via la N83 et il a du monde ...
Une section d'AMX30 traverse Ingersheim au Sud et perd un char accroché par ma reconnaissance, j'ai le sentiment qu'il teste mon dispositif. Il sonde.
Mon artillerie est en attente de cibles, je garde une section de 152 mm en contre batterie et je fais donner 30 coups de mortiers sur la zone d'accès au pont sur Ingersheim, que des P4 s’apprêtent à franchir. C'est aléatoire comme tir, mais ça peut le faire réfléchir avant d'avancer.L'activité électro-magnétique est faible, il semble que les ordres soviétiques prennent quelques minutes de plus à être exécutés ( entre 17 et 24 minutes ), rien de trop gênant.
Les français forcent le passage à Ingersheim
09h30 : Au nord , il semble emprunter la N83.
Au sud les P4 ont forcé le passage sur Ingersheim sans se faire toucher par ma salve de 82 mm, mais se font détruire par mon infanterie en second rideau, en retrait en ville, mon artillerie , qui délivre « à la demande », tape la zone d'accès à Ingersheim, 7 AMX 30 sont mis hors de combat. Mes reconnaissances ont l’œil du Lynx.
Je déplace une compagnie d'infanterie placée initialement juste au sud de la vieille ville de Colmar, pour qu'elle y prenne position ( c'est la zone à 3000 points ) je voulais la laisser libre craignant un tir de préparation d'artillerie, mais il est possible que quelques AMX30 aient réussi à forcer mes défenses et s'en approchent, on va donc y planquer de l'infanterie russe dans les maisons à colombage.
Mon artillerie est efficace mais les munitions partent vite.
Rapport de renseignement – carte synthétique – 09h27
Les munitions, le nerf de la guerre.
09h54 :Mon GqG a été localisé et prend des coups de 155 mm, il est quasiment détruit, il se déplace, du 155 tombe également sur la vieille ville de Colmar avant que ma compagnie ne vienne s'y installer, on a eu chaud, comme quoi j'avais bien fait de ne pas m'y endormir.
Vers Ingersheim, l'infanterie soviétique en ville qui a précédemment détruit les P4 se prend une belle dégelée de 155, il y a des pertes, et dans la foulée, elle se prend de plein fouet la charge de 3 ou 4 sections d'AMX 30, elle s'accroche mais a subit 50% de pertes en 25 minutes ( 7 bmps au tapis ) et emporte un AMX …et recule,dur.
Je vais demander à mes reconnaissances de reprendre pied dans Ingersheim , afin de ralentir ce qui pourrait suivre les blindés français.
Cet objectif est menacé.
10h00 -10h23 : 2 gazelles approchent mon écran de reconnaissance au nord est d'Ingersheim et l'une d'entre elles se fait abattre en les survolant , la charge des blindés qui fonçaient vers la vieille ville se casse les dents sur ma compagnie qui dispose de quelques ATGM.
Au Nord , sur la N83 , une section d'Amx 30 se fait accrocher par mes reconnaissances.
Mes renforts approchent, je les oriente logiquement là ou l'effort de Jo se porte, vers la ville.
Je bascule toutes mes pièces de 152 mm en contre-batterie, le 155 de Jo est trop dévastateur, il a choisi de taper mes recos au Nord d'Ingersheim, elles sont vaporisées.
Vers 10h15, deux compagnies d’infanterie viennent renforcer les abords de la vieille ville, j’oriente la 3eme compagnie vers l’aéroport, ou je m'attends également à une attaque d'ici quelques temps, ça escarmouche par là bas aussi.
Mon Qg régimentaire est pour ainsi dire annihilé par l'artillerie française, ça va me coûter cher au score ça, j'ai certainement eu une activité électromagnétique trop élevée, à vouloir trop micro gérer mon dispo …
Le renseignement militaire confirme la présence d'Amx 10 sur l'axe Ingersheim – Colmar, le second échelon Français va arriver et c'est de l'infanterie.
Ma compagnie de T80 devrait arriver dans les prochaines minutes.
De bien maigres renforts arrivent, eu égard aux trop nombreuses unités françaises attendues, ici la masse va rendre compliqué l'exercice défensif.
Rapports de renseignements - 10h23
10h30 - 10h50 : L'artillerie française bombarde méthodiquement mes positions un peu partout, me voilà dévoilé, je vais devoir adapter mon dispositif.
Ma compagnie blindée ( déjà réduite ) arrive enfin, on est à la moitié de l'affrontement, je lui demande de faire mouvement rapide sur la N415 à l'arrière de Colmar, pour l'instant j'en fait une réserve qui pourra intervenir au Nord ou éventuellement dans la vieille ville.
La synthèse des pertes me permet d'évaluer à 20 le nombre d'Amx 30B2 détruits pour l'instant, sur une estimation de 60 voire 80, Jo a encore de la ressource blindée et il n'a pas engagé son infanterie, il économise son effort, pour probablement pousser massivement de manière simultanée. Mes T80 vont devoir être bien utilisés.
La cavalerie arrive.
La situation n'est pas bonne, l'artillerie française frappe méthodiqment mes unités en ville rendant tout mouvement compliqué, il ne restera pas grand chose de Colmar, dont le centre se voit rasé par les 155 mm.
Après l'assaut blindé, voilà le second échelon français qui approche via Ingersheim, Jo a fait un bon choix, la concentration des forces sur un axe désormais complètement ouvert, mon petit écran de reconnaissance accroche ici ou là un Amx10P mais ne sera pas en mesure de stopper ce passage en force, néanmoins ma reconnaissance demande à mon artillerie en posture " délivrer à la demande " de taper au 152 mm sur l'axe emprunté par les AMX10P.
Situation à 11h15
situation à 11h30
Il est midi, mes T80 se font détruite en ville par le 155 mm français, l'assaut d'infanterie menée avec audace va me faire perdre le contrôle de la vieille ville, Jordan n'attaque pas au Nord, son plan étant manifestement de forcer par Ingersheim et de saturer mes défenses par le feu et le nombre, c'est bien joué, ca fonctionne.
Un jaguar fait un passage au dessus de Colmar à basse altitude, il sera détruit par un SAM russe, maigre consolation, je n'ai pas grand chose pour contrer les français, je donne l'ordre à ma compagnie la plus proche de la vieille ville de monter à l'assaut, réduite par l'artillerie, elle peine à avancer, les pertes sont très lourdes.
Un jaguar en rase-mottes
13h16 : La vieille ville est libérée par les Français, artillerie, mortiers, combat de rue ..
C'est sanglant
13h31 : La progression française n'est pas endiguée, les libérateurs foncent vers Hombourg-Wihr, mon artillerie frappe encore, sans être décisive. La mobilité protège la colonne française. Au Nord l'aéroport de la ville reste sous mon contrôle, je tiens encore un objectif, les pertes françaises sont non négligeables, mais j'ai perdu la moitié de mes forces, je m'attends à une partie nulle, Jo mérite de gagner. J'aurai peut être une victoire marginale si il ne prend pas l'aéroport.
Le Sud de Colmar est libéré par le 12eme cuirassier
État des pertes vers 13h31, maigre consolation, la charge du 12eme cuirassier aura été fort couteuse. Jo va certainement atteindre son objectif.
Un Amx 30 touché par du 152 mm
13h 42 : La contre attaque est menée avec ma dernière compagnie présente dans le Sud de la ville. Au Nord c'est calme, une colonne de blindée contourne la ville plutôt que de venir attaquer l'aéroport, ça m'arrange car mes forces sont réduites de 50% , si je tombe à 30% , défaite automatique. Sa force blindée au Nord cherche à accrocher des forces sur mes arrières.
Ultime action russe en ville - baillonette au canon !
Il est 14h00, la bataille se termine, je suis surpris du résultat, je m'attendais à un nul, Jo ayant réussi à saisir la vieille ville de Colmar ( après l'avoir rasée au 155 mm , sans pitié aucune pour les maisons à colombages ! ) , en examinant en détail les conditions de victoire et les rapports de pertes, il m'apparait que la somme des pertes effectuées additionnées aux objectifs encore tenus ( l'aéroport ) m'offre une victoire décisive.
Un grand Merci à Jordan pour cette partie ! C'est avec plaisir que je remettrai ça sur un autre scénario.
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Le détail des données de fin de parties est juste en dessous !
Situation à 14h00
Il me restait 50% de ma force initiale, à 30% c'était la défaite automatique.
Les conditions de victoire
La note du boucher
Sous total 1 de la note coté rouge
Sous total 2 de la note coté rouge
Sous total 1 de la note coté bleu
Sous total 2 de la note coté bleu